Les chœurs d’Hells Bells d’ACDC s’éclatent alors qu’un jeune homme, en t-shirt sale, les ampoules plein les mains referme le clapet du réservoir d’essence du camion. Résigné, titubant de fatigue, il recharge d’essence le nouveau véhicule qui vient se ranger à la place de l’autre. En levant la tête, il voit les kilomètres de véhicules klaxonnant furieusement pour se faire servir par les humains.
La séquence pour moi la plus forte de Maximum Overdrive (1986, Stephen King qui réalise) où le passage d’une comète dérègle toutes les machines qui assaillent les humains jusqu’à les réduire à l’esclavage.