Les séries de SF de la Génération X [NovFut #18]

Après la trilogie sur les machines, peut-être un peu trop anxiogène, il est temps de respirer un peu. Je vous propose donc une petite rétrospective des meilleures séries SF des années 70, des années qui ont forgé les imaginaires science-fictionnels des Gen X (nés entre 65 et 80).

Petit avertissement pour les puristes : les séries sélectionnées sont celles qui, réalisées dans les 70s qui ont été diffusées en France jusque dans les 80s. J’ai évacué tous les animes japonais dérivés de Go Nagai, ainsi que les séries de super héros (L’homme de l’Atlantide, Hulk, Wonderwoman, etc.). Bonne plongée dans le passé.

1970 – Alerte dans l’espace (UFO)

L’histoire : dans les années 70 les américains et anglais découvrent que les aliens existent et enlèvent des humains. En coopération avec les Nations Unis, ils créent une organisation secrète : SHADO (Supreme Headquarters Alien Defence Organisation) capable de se déployer sur terre, dans les airs, les mers, le ciel et même sur la lune. Le but du SHADO : arrêter l’invasion alien.

Ils avaient un truc avec les cheveux dans cette série

NovFut : une série incontournable mêlant politique internationale, designs des vaisseaux et des costumes extraordinaires, mais aussi de l’émotion et de l’action. Magnifique et prenant.

1972 – La bataille des planètes (Kagaku Ninjatai Gatchaman)

L’histoire : 5 héros adolescents (Mark, Thierry, Princesse, Allumette et Kipo) formant la Force-G, luttent contre le méchant Zoltar (Galactor) grâce à leurs pouvoirs et leur vaisseau, le phénix et leurs robots 7-Zark-7, le chien robot 1-Nonos-1 et 5-Sibel-5.

NovFut : la série d’animation, arrivée sur nos écrans en 1979, s’est faite charcutée par la télévision française qui a changé tout le scénario. Mais on peut tout de même apprécier le formidable design de Yoshitaka Amano que les amateurs de Final Fantasy connaissent bien. Par ailleurs on peut considérer qu’il s’agit de la série initiatrice du genre Sentai : équipe multi-pouvoirs colorée, monstre pas beau et super méchant drag queen. 20 ans d’avance sur les Power Rangers !

1974 – L’homme qui valait 3 milliards

L’histoire : après un terrible accident, le pilote d’essai Steve Austin est reconstruit avec des implants bioniques. Il utilise dorénavant sa force décuplée, sa rapidité extraordinaire et sa vue macroscopique pour l’agence OSI (Office of Scientific Intelligence), agence de service secret gouvernementale dirigée par Oscar Goldman.

Lee Majors, l’homme qui plisse les yeux à pic

NovFut : un générique inoubliable pour des épisodes complètement oubliés. A part peut-être celui avec le sasquatch (je ne sais pas pourquoi mais je l’aime bien celui-là). Car si l’idée de départ d’un homme bionique est géniale, le reste de la série nous montre Lee Majors courir au ralenti, plisser des yeux et sauter des cailloux à chaque épisode. Ennuyeux.

1974 – Goldorak (Grendizer)

L’histoire : Actarus (Duke Fleed) s’est échappé de la planète Euphor détruite par Vega. Arrivé sur terre, il lutte avec le robot géant Goldorak (Grendizer) contre Vega qui l’a suivi. Il sera aidé par Alcor (Koji, transfuge d’une autre série de Go Nagai, Mazinger Z), Vénusia (Hikaru) et Phénicia (Maria).

NovFut : la première série de robot géant de la télé française a eu un succès hallucinant, déclenchant son lot de polémiques d’experts anti-manga. Mais il fallait être dans les cours de récré en 1977 pour se rappeler des combats de fulguro-poings et corno-fulgur.
45 ans après la série a pas mal vieilli mais c’est toujours un plaisir de voir Actarus jouer de la guitare avant de donner une baffe à Alcor, de prendre sa moto puis sauter dans Goldorak en criant transformation. Des scènes inoubliables ancrées dans la mémoire de tous les GenX.
Et puis que dire du message écologique d’Actarus, décidé à sauver la planète terre qu’il trouve magnifique, souvent à l’inverse des hommes qui n’y prêtent plus attention et qui la massacre.

1974 – La planète des singes

L’histoire : deux astronautes, Virdon et Burke, traversent une brèche de l’espace-temps par accident et atterrissent en catastrophe sur la Terre en 3085. Celle-là même où George Taylor (Charlton Eston) fustige l’humanité de n’avoir pas su se préserver. Ils sont poursuivis par le général gorille Urko et aidés par le chimpanzé Galen.

NovFut : avec une musique exceptionnelle de Lalo Schifrin, Earl Hagen et Richard LaSalle, les 14 épisodes sont assez géniaux pour l’époque. Les effets spéciaux, surtout les maquillages des acteurs, sont bluffant. Et surtout, elle permet l’exploration de la planète des Singes et des décombres de la société avant qu’elle ne s’écroule. Une série hélas arrêtée faute de succès.

1975 – Space: 1999

L’histoire : en 1999, une guerre nucléaire expulse la lune de l’orbite de la terre. Les habitants de la base lunaire Alpha se retrouvent alors dans l’espace confrontés à des extraterrestres et des phénomènes étranges.

NovFut : à l’origine créée pour être une suite des Thunderbirds (les Sentinelles de l’air), cette connut un immense succès en Europe. Peut-être notamment grâce à une esthétique inoubliable à la fois pop et très réaliste. Sans oublier des personnages denses et bien construits et l’utilisation inhabituelle de la musique classique.

1976 – Holmes et Yoyo

L’histoire : le maladroit inspecteur Holmes découvre que son partenaire Grégory Yoyonivich est un androïde, nouvelle arme secrète de la police. Hélas, étant un prototype expérimental, Yoyo a de nombreux problème : répétitions maladroites, batterie à recharger, interférences d’ondes parasites, sensibilité aux aimants, réception de radio suédoise, poids anormal, etc. Bref, avoir un coéquipier robot n’est pas de tout repos (je devrais écrire des critiques pour Téléstar).

NovFut : La série n’était vraiment pas très bonne (regardez le pilote pour vous faire une idée), mais ça ne nous empêchait pas de jouer au Yoyo dans toutes les cours de récréation.
Ceci dit, avant même la micro-informatique, cela nous a permis de découvrir les dysfonctionnements possibles d’un système électronique. Éducatif ?

1976 – Super Jaimie

L’histoire : la même que L’homme qui valait 3 milliards mais avec une fille. Ainsi Jamie Sommers est transformée en femme bionique et devient espionne.

NovFut : en dehors de l’actrice qui jouait nettement mieux que Lee Majors, ce décalque de l’homme qui valait 3 milliards n’a aucun intérêt.

1977 – L’âge de cristal (Logan’s Run)

L’histoire : en l’an 2218, les habitants d’une cité troglodyte consacrent leur vie au plaisir. Mais afin d’éviter les problèmes de surpopulation, leur vie s’arrête à l’âge de 30 ans. Par ailleurs, toutes les phases de leur vie sont contrôlées par un ordinateur, le Penseur, à travers un cristal implanté dans la main. Ceux qui n’acceptent pas les règles sont inexorablement éliminés par la police. Logan 23 est l’un de ces policiers, devenu dissident, et avec Jessica 6 et l’androïde Rem, recherche le Sanctuaire, un lieu où ils pourront vivre plus de 30 ans.

NovFut : tirée de l’excellent roman du même nom (par W F. Nolan et G C Johnson, 1967), la série présente les travers d’une société “optimisée” pour le divertissement. Que ce soit le marquage de la population (le cristal est un peu une puce biométrique) ou le contrôle de tous les aspects de la vie par une IA. Elle montre aussi l’immobilisme (et donc la décroissance inéluctable) d’une société qui vit sous cloche. Bref, que des sujets bien actuels en 2023.

1978 – Albator, le corsaire de l’espace (Uchû Kaizoku Captain Harlock)

L’histoire : en 2977, le gouvernement mondial est incompétent, paresseux, et la population amorphe. Des sphères étranges envoyées par les Sylvidres, des envahisseurs extra-terrestres à l’aspect féminin, s’écrasent sur terre. Seul Albator, le corsaire de l’espace et chef des derniers hommes libres tente de sauver le monde malgré lui.https://img.reelgood.com/content/movie/d79110c3-6e68-4b3b-b840-47de80cf0950/backdrop-1920.jpg

NovFut : avec presque 950 ans d’avance, Leiji Matsumoto décrit une terre qui subit le syndrome “Don’t look up. Les robots s’occupant de tout, la terre est remplie de fainéants pendant que le gouvernement ne pense qu’à faire la fête en plein déclin social, économique et culturel. Personne n’est donc prêt à relever les défis d’une attaque extra-terrestre sauf les exclus de la société : marginaux, makers et bidouilleurs.
Série gothique et magnifique, je ne peux que vous conseiller de prendre le temps de la regarder.
Je vous conseille également le manga, différent mais aussi beau et génial (et je vous déconseille le film en 3D, particulièrement nul).

« Lorsque toutes les mers du globe eurent disparu, les hommes pensèrent que la fin du monde était proche. Ils se désespérèrent, sans même songer aux richesses que l’espace infini pouvait leur offrir. Il leur aurait suffi de lever les yeux vers le ciel mais ils en avaient perdu l’habitude. Seule une poignée d’hommes eut le courage d’aller explorer la mer du dessus, qui pouvait encore sauver l’humanité. Ils furent traités de fous et considérés comme hors-la-loi. »

Albator

1978 – Battlestar Galactica

L’histoire : l’humanité, ou ce qu’il reste des 12 colonies humaines, recherche une planète mythique, appelée Terre où ils pourront échapper à la menace des Cylons, une race cybernétique. Le commandant Adama et son équipage du Battlestar Galactica va devoir protéger les convois à travers l’espace.

NovFut : plus manichéenne que la série éponyme de 2004, Battlestar a été le substitut pour les enfants qui n’avaient pas l’âge de voir Star Wars au cinéma. Combat spatiaux magnifiques, robots rigolos, cantinas d’extra-terrestres plus ou moins amicaux, il y avait vraiment tout pour plaire. Sauf la fin, car la série s’est arrêtée brusquement après 24 épisodes.
Ceci dit, 45 ans après, le générique fait toujours des frissons dans le dos :

1978 – Conan le fils du futur

L’histoire : En 2008, la terre est dévastée suite à une guerre mondiale. Quelques années plus tard, un jeune garçon mutant, Conan nait sur une petite île. Un garçon à la force étonnante qui rencontre Lana, une jeune fille gardant le secret de l’énergie solaire. Mais elle est poursuivie par le pays d’Industria qui veut en faire une arme. Conan va donc devoir tout faire pour la protéger et avec elle, le reste du monde.

NovFut : première série réalisée par Hayao Miyazaki (avec Takahata), elle intègre les thèmes classiques du réalisateur (Nausicaa, Laputa) : le besoin de puissance militaire des hommes, leur manque de discernement quand il s’agit d’écologie et surtout la pureté des enfants face aux adultes menteurs et opportunistes. Un petit bijou.

1978 – Capitaine Flam (Captain Futur)

L’histoire : Curtis Newton est le Capitaine Flam. Il a été élevé sur la lune par l’androïde Mala (Otho) et le robot Crag et le professeur Simon (Wright). Homme d’action scientifique, est appelé quand le gouvernement mondial est dépassé. Ce qui se produit souvent.

NovFut : tiré des romans d’Edmond Hamilton (l’intégral édité dernièrement par Le Bélial), capitaine Flam est un excellent dessin animé de SF qui mêle science et action, le tout dans un univers western spatial (un jour un NovFut spécial Western spatiaux). L’explication de la capacité hyperspaciale du Cosmolab ou encore la construction d’un vaisseau spatial à partir de rien sont des moments d’anthologie de cette série qui ne vieillit pas.

1978 – Galaxy Express 999

L’histoire : dans le futur, l’humanité s’est propagée dans toute la galaxie. Un jeune garçon, Teddy (Tetsuro), reçoit un billet pour le Galaxy Express 999, un train qui traverse les galaxies et pouvant rendre ses passagers immortels.

Novfut : à voir pour son design visuel splendide, sa narration émotionnelle et son scénario exceptionnel qui pose la question de l’immortalité à travers la robotisation.
Une question d’actualité entre le recul de l’éthique et le développement des technologies pour augmenter la durée de vie humaine.

1978 – Le Mutant

L’histoire : une société de la surveillance, des Légions de la Paix et l’arrivée d’un mutant doué de pouvoirs qui change la donne. Une série organisée en flashback de témoins qui racontent leurs souvenirs.

NovFut : une série de SF française, chose assez rare à l’époque, qui aborde des thématiques très actuelles: manipulations génétiques et la science du cerveau dans un univers très anticipé (surveillance totale par des caméras et écrans). Le sondeur de mémoire (outil qui permet d’afficher les pensées) ne peut que nous évoquer les dernières expérimentations réussies d’IA génératives. Bon, après on est dans de la série française des années 70… Assez indigeste.

1979 – Mobile Suit Gundam

L’histoire : vers 0079 du Calendrier Universel, le gouvernement fédéral de la Terre et le duché de Zeon, sorte de nazis de l’espace, sont en guerre. Amuro Ray, engagé sur le White Base, vaisseau de la fédération va lutter contre les méchants grâce à son Gundam, un prototype de Mobile Suit très puissant.

Novfut : Gundam, phénomène de société au japon, est simplement la série de robots la plus populaire du monde. La différence de Gundam avec les autres mechas : le sérieux de leur conception qui en fait des robots scientifiquement probables.
Depuis la première série de 1979, l’univers de Gundam s’est étoffé d’une trentaine d’autres séries, d’OAV et de films. Sans compter les maquettes, mangas, romans et jeux vidéo. Une vision qui continue à préempter l’imaginaire de toute la robotique japonaise (et d’ailleurs).

1979 – San Ku Kaï (Uchu kara no messeji: Ginga taisen)

L’histoire : Ryu et Ayato sont deux amis ninjas de l’espace qui combattent l’empire de Golem XIII à bord de leur vaisseau, le San Ku Kaï, afin de l’empêcher d’envahir le 15ème système solaire. Ryu et Ayato sont rejoint dans leur combat par le simien Simane, la princesse de l’espace Eolia et le robot Sidéro. Il leur faudra au moins ça pour affronter les Stressos dirigés par Volcor et Furia.

NovFut : San ku Kai, c’est la bataille ! Mes premiers souvenirs de Tokusatsu qui mélange habilement rires et larmes. Car la plupart des épisodes étaient souvent très touchant, oscillant entre l’honneur à la japonaise, la cruauté des méchants, et des blagues outrancières, le tout dans un décor bien cheap piqué à Star Wars. De bien bons moments ma foi.

1979 – Buck Rogers au XXVe siècle

L’histoire : Durant l’année 1987, le capitaine William « Buck » Rogers qui testait un appareil spatial se retrouve congelé en orbite autour de la terre. En 2491, la Terre est dévastée par un cataclysme nucléaire. En 2491, Buck est réveillé de sa cryogénie et va devoir se réhabituer aux subtilités du 25e siècle.

Un 25e siècle très cuir

Novfut : une série qui ne se prend pas au sérieux. Les méchants sont méchants, les filles sont toutes diablement sexy (et à moitié à poil) et les hommes terriblement… heu.. Américains (le héros ne perdait pas une occasion de mettre en avant son torse velu). Le tout dans un univers qui repompe allégrement Battlestar Galactica et Star Wars. Bref, une perle pop.

1979 – Spectreman

L’histoire : Dans un 20e siècle hyper-pollué, le méchant extra-terrestre Dr Gori (à tête de singe) veut conquérir la terre. Il y est empêché par Ordinator qui envoi le cyborg Spectreman lutter contre ses monstres pollueurs. Spectreman se cachant dans la vraie vie sous l’identité du gaffeur Georges de la brigade anti-pollution de Tokyo.

NovFut : un tokusatsu (film d’effets spéciaux japonais) tout à fait honorable qui permet de nous rappeler qu’en 1979 déjà on s’inquiétait des dérives de la pollution. Hélas il sombrera très vite dans l’oubli après la déferlante Bioman.

Les 70s : une époque merveilleuse pour la SF

Terry Pratchett disait que la Science-Fiction c’était de la fantasy. Et à la redécouverte de toutes ces séries extraordinaires, on ne peut qu’être d’accord avec lui.

Les séries SF des années 70 plongeaient les spectateurs à la frontière entre la science, la critique sociale et le concentré d’imagination merveilleuse, dans des mondes remplis de merveilles, des cyborgs combattant la pollution aux vaisseaux spatiaux errant dans la galaxie.

Une vraie ère de créativité, d’influences diverses et de designs splendides à redécouvrir si vous ne connaissez pas.

Cyroul


Les Nouvelles de mai en Science Fiction

Un jeu de rôle pour tuer des dieux

Bon, un petit coup d’auto-promo, pour vanter la sortie de Mythenders, dans lequel j’ai écrit l’une des campagnes. Dans ce jeu de rôle édité par les XII Singes, les joueurs incarnent des tueurs de dieux qui vont devoir faire attention à leur humanité.
La campagne de scénarios que j’ai écrite se déroule à l’époque contemporaine, où les tueurs de Dieux sont confrontés à nos croyances modernes (médias, réseaux sociaux, guerre, etc.). Leurs choix pouvant conduire à la destruction de l’humanité (grosse pression).

Le jeu est déjà financé (115% à l’heure où je vous parle), on devrait donc le retrouver en boutique dans les prochains mois.

A lire en mai

On n’est pas loin des tueurs de Dieux avec la sortie du dernier Usbek&Rica consacré aux Routes de la Foi, un jeu de mot qui cache un passionnant dossier sur la transformation des croyances (des « croivances« ) à l’heure des réseaux sociaux massifs. Effrayant mais aussi fascinant pour tous ceux qui essaient de réfléchir au futur.

Si le sujet de l’évolution des réseaux sociaux vous intéresse, Réseaux sociaux & numériques dans le futur est une anthologie dirigée par Bruno Pochesci qui regroupe 21 nouvelles offrant la vision des futurs de ces réseaux. Aux Editions Arkuiris.

Adaptation BD par Dan Watters et Dev Pramanik de L’homme qui venait d’ailleurs, un film avec David Bowie sorti en 1977. Pour ma part, je n’ai jamais véritablement compris ce film (manque de LSD certainement), et j’espère que la BD va combler ce manque.

Appel à contribution

La 50ème Convention nationale française de Science-Fiction se déroulera à proximité de Valenciennes du 17 au 20 aout. A cette occasion la revue Galaxies, lance un appel à contributions (texte, illustration, photographie, ou même enregistrement vocal, musical ou vidéo). Plus d’information ici.

Et enfin, le petit plaisir du mois

La visite en 360° des decks de TOUS les vaisseaux de Star Trek. Un travail extraordinaire qui ne laissera pas indifférent le fan de Star Trek. Pour ma part je me suis fait toutes les versions de l’Entreprise NCC 1701 pour y traquer les différences. Une expérience plus que relaxante.

Le NovFut de mai est terminé. Pour ne pas rater un numéro, abonnez-vous et abonnez vos amis. Vous pouvez également me rajouter sur Mastodon, Twitter ou autre. On se retrouve le mois prochain, pour nouveau numéro de NovFut. Et n’oubliez pas de lire de la SF pour penser le futur !

Author: Cyroul

Explorateur des internets et créateur de sites web depuis depuis 1995, enseignant, créateur de jeux, bidouilleur et illustrateur. J'écris principalement sur les transformations sociales et culturelles dues aux nouvelles technologies, et également sur la façon dont la science-fiction voit notre futur.

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