Un petit dessin vaut mieux qu’un long discours. Alors cette année, j’ai préféré un dessin réalisé à l’ancienne, à la main, sans IA générative pour vous souhaiter une bonne année remplie d’imagination (*).
Un petit dessin-jeu contenant des références à quelques œuvres de fiction que j’affectionne.
Saurez-vous les trouver toutes ? Il doit y en avoir 10. Le gagnant a le droit de me payer une bière (sans concert-Ukulélé, ce qui ne serait pas sympa).
Ce dessin évoque également quelques-uns de mes projets 2024 :
- Ma newsletter NovFut – Les Nouvelles du Futur – sur la prospective via la Science Fiction (24 numéros déjà) qui dépasse les 350 fidèles lecteurs (avec un taux d’ouverture de 60% par numéro, il faut croire que vous aimez ça) et qui tient plus ou moins le rythme d’un numéro par mois. Si vous n’êtes pas déjà abonné, faites-vous plaisir ici, c’est gratuit.
- Jean-Claude, le jeu, un jeu de carte narratif et rigolo pour vous muscler les neurones à histoires, construit avec Damien et Olivier devrait sortir en financement participatif cette année. Chaque playtest fait un carton, donc il ne faudrait pas qu’on traine.
- Mythenders, un jeu de rôle édité par les 12 Singes pour lequel j’ai écrit une longue campagne de plusieurs scénarios devrait sortie en début 2024.
- Mutation Magazine pour lequel j’ai écrit un article sur le hacking d’IA et qui devrait sortir en version papier cette année.
- Et évidemment toujours Curiouser, notre société fondée avec Maud, et qui intervient sur des projets de transformation de plus en plus stratégiques et prospectifs chez nos clients. Quand je vous dis que la SF sauvera le monde.
Je vous souhaite donc à tous une année 2024 remplie de créativité, de découvertes et d’imagination.
(*) Il semblerait que ce n’est pas une bonne idée de blinder son agenda de l’année de résolutions, mais s’il y en a bien une à prendre pour les prochaines années, c’est de muscler son imagination.
Car cette capacité très humaine, qui selon Yuval Harari a permis à l’homo sapiens de conquérir la planète, risque bien de se voir atrophiée par une sollicitation permanente de l’attention, par la suppression de l’ennui, par la récupération de notre imaginaire par les machines à faire du profit, par la tentation permanente d’utiliser des outils qui pensent plus vite que notre cerveau.
Préparons-nous.
